Quand Amnesty parle d’argent

L’association communique sur son indépendance financière, avec TBWA Paris. En amont de la sortie de son rapport annuel sur l'état des droits humains dans le monde, Amnesty International France lance sa 1re campagne de communication sur son indépendance financière, et appelle au soutien du grand public qui, seul, lui permet de mener à bien sa mission.

Un sujet vital pour l’association, puisque seule son indépendance financière lui permet d’être un contre-pouvoir. Et seuls les dons du public lui permettent de poursuivre son combat.

Afin de transmettre ce message, lʼagence TBWA Paris a conçu et réalisé une campagne autour du concept de "lʼargent qui cache", soit celui qui contribue, pour des questions d'intérêts économiques ou politiques aux violations de droits humains, et de "lʼargent qui révèle", celui des donateurs et des membres dont Amnesty International a besoin pour dénoncer et continuer à enquêter sur ces violations. Le spot, Indépendance, se déroule sur la musique Altrocities de Anthony & The Johnsons. Il a été réalisé par Joe Vanhoutteghem (Production :  Henry De Czar et \ELSE). Amnesty International y révèle combien lʼargent peut être utilisé à mauvais escient, pour dissimuler ou perpétuer des violations des droits de lʼhomme telles que la torture, la peine de mort...

La campagne est également relayée en presse avec 3 annonces, shootées par Marc Gouby (Retouche : La Retoucherie et Janvier).

Visuels 1&2

Ils reprennent les thèmes de la répression de la liberté de la presse, de la pollution des industries extractives et du recours aux enfants soldats et sur Internet avec des bannières développées sur les mêmes thèmes.

Visuel 3
(Responsables chez l’annonceur : Sylvie Haurat, Arnaud Humblot ; responsable à l’agence : Anne Vincent, Anne-Laure Brunner, Isabelle Dray ; Eric Holden, Rémi Noël, directeurs de la création ; Philippe Taroux, directeur artistique ; Benoit Leroux, concepteur-rédacteur ; print : Isabelle Dray, productrice ; Julie Champin, achat d’art).