Curly, c'est C.. mais c'est bon

On peut s'interroger sur la santé mentale de certains annonceurs. Ou pas. Car finalement Curly devrait inscrire sa nouvelle saga dans la lignée des spots qui font mouche. Après le fameux « si t’as pas d’amis », on passe un cran au dessus dans l’impertinence avec la plateforme « Curly, c’est Con mais c’est Bon ». Avec cette nouvelle signature, Curly part en cacahuète pour réaffirmer son statut de marque culte auprès des jeunes adultes. Imaginée par les agences Change pour la pub et St John’s pour le digital, Curly interpelle directement la génération Y et son besoin de vivre des moments de grand n’importe quoi entre amis. Pour illustrer ce nouveau claim, trois spots décalés mettent en scène la même bande de colocataires déjantés et ses stratagèmes plus «What the Fuck» les uns que les autres pour déguster des Curly. Pour cette saga, Change a fait appel au réalisateur néo-zélandais, Greg Bray (La Pac), qui a réalisé notamment des films Skittles et Volkswagen.

Le déjanté digital en renfort

Cette saga sera à l’origine d’une première pour la marque en matière d’activation digitale. Un dispositif de social TV, signé St John’s exploitera la diffusion de films en TV associée à une interaction sur les réseaux sociaux. Rendez-vous le 3 mars sur le compte Twitter @Curly ou sur sa page Facebook, ou en suivant #pubcurly. Du #conmaisbon au programme

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