Orange Bank vise deux millions de clients d'ici à 2025

Orange a officiellement lancé sa nouvelle offre de banque 100% mobile : Orange Bank. Les services offerts sont ceux d'une banque "classique" : un compte, une carte bancaire, un découvert autorisé, une assurance complémentaire gratuite, un livret d'épargne rémunéré. L'objectif est d'atteindre 400 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2018 pour plus de deux millions de clients en France d'ici 2025. Orange Bank s'appuie sur ses 140 boutiques et a formé environ 890 collaborateurs pour ce lancement. Le groupe possède déjà une expertise dans les services financiers avec Orange Money (34 millions de clients sur la zone Afrique et Moyen-Orient) et Orange Cash (500 000 utilisateurs en France) renforcée par la prise d’une participation majoritaire dans Groupama Banque en 2016, devenue Orange Bank en 2017.

Plan media : social first

La campagne de lancement, imaginée par Havas Paris, est "social first". Elle a débuté au Show Hello le 20 avril et s'est poursuivie sur l'ouverture de réseaux sociaux dédiés (LinkedIn et Twitter). Stéphane Richard annonce le 3 octobre, depuis son compte personnel la date officielle de lancement de Orange Bank. Ce sera le 2 novembre. Ce lancement a été piloté par une équipe resserrée autour de Valérie Planchez, vice-présidente Havas Paris, Christophe Coffre, président directeur de la création et Antoine Lhuillier, en charge de la coordination du compte Orange et réalisé avec l’appui du village Havas (Havas Events, Fullsix, Digital Factory) et soutenu par un dispositif média signé Blue 449. Une combinaison d’expertises, de contenus, de formats et de canaux sont déployés (influence, PR, E-PR, réseaux sociaux, évent, design graphique, création publicitaire) pour les besoins de la TV, de la presse, de l'affichage, du digital, des réseaux sociaux et de la PLV. "Inspirés des usages du mobile, les contenus ont tous été pensés, tournés et réalisés dans un format vertical avec les proportions d’une fenêtre d’écran de mobile. Un mobile penché, comme dans la vie, posé sur une table. Le traitement se veut simple et réaliste. La lumière est un peu crue, les mises en scène sont celles de la vraie vie, volontairement imparfaites" précise un communiqué d'Havas Paris. Le 2 novembre, dès 8H00, les twittos ont découvert trois capsules vidéos façon caméra cachée : Stéphane Richard teste la nouvelle banque et ses fonctionnalités (l’inscription, le paiement mobile et la discussion du conseiller virtuel).

"Simplement"

Le film "Simplement", est diffusé en TV et sur les comptes sociaux de la banque avec un format vertical, un ton et un style "cool". Il est décliné en pastilles 5 secondes. La campagne raconte les services via les quatre premières fonctionnalités (paiement avec le mobile, virements par sms, blocage et déblocage de la carte, consultation du solde actualisé instantanément) et font l’objet de films (TV et réseaux sociaux) ainsi que de visuels pour la presse et l’affichage. Pour l’affichage digital et le digital, le partis pris est centré sur la seule mise en scène des gestes liés au usages mobile. Christophe Coffre, président directeur de la création Havas Paris, explique qu’avec cette campagne "on est dans la vraie vie, rapide, sans artifice… dans ce que la mobilité digitale apporte de mieux au monde aujourd’hui. L’usage et simplicité ont été les maîtres mots de notre travail créatif". Valérie Planchez, vice-présidente Havas Paris poursuit "le fond, la forme et le territoire d’expression sont consumer centric, au service de l’innovation et des usages en cohérence avec le positionnement de la banque. Au cœur des flux, dans la rue, sur les réseaux sociaux, le digital… mais aussi dans les coulisses, l’expérience, le live, les démonstrations et les expérimentations… ce lancement a toutes les caractéristiques des lancements les plus innovants".  Julien Carette, président Havas Paris conclut "ce lancement illustre parfaitement les mutations de nos métiers, où toutes les expertises doivent jouer ensemble sans caste ni chapelle et où les productions de contenus doivent être de plus en plus courtes pour nourrir les canaux digitaux".

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