Quézac jaillit sur les écrans

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C’est la saison des eaux qui viennent défiler sous de nouveaux atours. Après Badoit ces jours-ci, Quézac débarque revêtue de neuf. Ce nouveau spot, l’eau minérale pétillante a bien fait de le peaufiner avec Marcel tellement le jaillissement de la source percute. « Soi l’aiga », c’est son nom, arrive plus de quinze ans après son film fondateur qui mettait déjà en scène la légende de Quézac, et surtout après 8 ans d'absence de la scène publicitaire.

Aujourd'hui, Quézac nous offre encore plus de mystère dans la narration, qui parle de l’orage originel qui vit descendre l’eau sur les terres arides du Gévaudan, jusqu’à la source d’où elle jaillit. Une petite fille –en hommage au premier film de Ridley Scott- est la gardienne de cette source réalisée par Thibault Dumoulin (Production : Frenzy). Le climat mystique et singulier est servi par une voix-off terriblement grave et masculine et par une musique orchestrée par le compositeur Klaus Badelt, auteur notamment de la musique de Pirates des Caraïbes. Un film qui fait redécouvrir l’histoire d’une eau « é qué s’apelario Quézac».







En amont, Dragon Rouge a été chargée de « réveiller la légende » sur laquelle l’eau minérale pétillante originaire des Cévennes du groupe Nestlé Waters a construit son histoire sur sa légende. L’enjeu pour Quézac était de recréer du lien avec les consommateurs et de se montrer pertinent à leurs yeux. Une réponse donnée par une identité capitalisant sur les codes historiques et de tradition réinterprétés avec davantage de modernité.







Et pour boucler la boucle, influelse, l’agence RP, digitale et événementielle, a été choisie après compétition par Nestlé Waters pour gérer le dispositif de relations presse.

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