Le Nouvel Observateur fait évoluer ses suppléments « CinéTéléObs » et « ParisObs »

A compter du 12 septembre prochain, Le Nouvel Observateur va faire évoluer ses suppléments avec « plus de pagination, plus de contenu, une nouvelle maquette et un nouveau rythme ». Dans l'optique d'être au diapason de son lectorat et de ses habitudes, il propose une offre plus riche et plus segmentée en tentant de faire « plus de place à la valeur ajoutée journalistique » et en adoptant une déclinaison spéciale pour le Grand Paris. C'est donc un jeudi sur deux que paraitra le supplément culture et télévision (« CineTéléObs ») enrichi en Île-de-France d’un grand cahier autour des sorties et de la vie dans la région capitale (« ParisObs »).

Concrètement, en régions, « CinéTéléObs », sous la direction de Richard Cannavo, renforce sa pagination avec 80 pages consacrées au meilleur du cinéma et de la télévision. La grille des programmes se réduit et laisse désormais plus de place aux analyses, décryptages, reportages et autres critiques. En Ile-de-France, fort de 32 pages d'actualités franciliennes, « ParisObs » (dirigé par Bernard Géniès) dispose quant à lui d'une couverture propre avec un contenu sociétal, et s'attarde sur les tendances, la culture et le lifestyle. Le Nouvel Observateur ambitionne « d'offrir au Grand Paris son premier city news ».

Un plan média radio, presse, affichage et street accompagnera les premières parutions des deux suppléments qui bénéficient d'une harmonisation graphique.

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