Sebastien Danet : talent, confiance et transformation, les trois piliers de Publicis Media France

Nouveau Chairman de Publicis Media France, Sébastien Danet était l'invité de l'émission #Media, présentée par le JDN et CB News. L'interview à 6 # et l'intégrale de l'interview ICI.

#Fin d'une époque

"ZenithOptimedia, ça a été une époque incroyable au cours de laquelle on a fait des progressions de 15% tous les ans depuis, on a été 4 ou 5 fois agence de l'année,  on est premier dans le classement  qualitatif du Recma et nous avons 25% de parts de marché en France…

# Un futur pour les clients

On a souhaité répondre aux attentes des clients dans deux domaines : la nécessité d'obtenir des gains de productivité ce que amène à la  massification dans un certain nombre de métiers et en même temps il y a une demande de personnalisation. Nous avons donc crée 4 marques qui permettront de répondre à nos clients : Zenith, Starcom, Blue 449 et Mediavest"

#50% de numérique

"Le numérique, c'est 50% de nos revenus et un collaborateur du deux. Il n'y a plus un silo digital. Il est à tous les endroits de l'organisation".

#Trois piliers de valeur

"Le talent : on est devenu une école. Dans notre métier c'est un peu comme au foot ; il faut les meilleurs à tous les postes et un très bon centre de formation. Le deuxième pilier, c'est le trust c'est à dire la transparence que nous remettons au cœur de la proposition. Le troisième c'est la transformation.  Nous devons aider nos clients dans la transformation qu'ils ne doivent pas subir. C'est le motto de Publicis".

#Transparence

"On a une transparence de l'inventaire, qui pèse environ 70% de l'ensemble, et une transparence des autres 30% de coût dans lesquels il y a de la data, du conseil, de l'humain. S'il n'y a pas de transparence sur ce métier-là, il va plafonner à 50% du display".

#Croissance

"Nous sommes toujours dans un marché qui manque de visibilité, mais on a perdu la spirale baissière. Mais la vraie croissance sera pour 2018, 2017 étant un année électorale, ce qui n'est jamais favorable à la croissance".

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