Luc Wise investit dans l'agence solidaire Béa

Pour soutenir son développement, Luc Wise, fondateur et président de The Good Company,  entre au capital de l'agence Béa. Claire Casset et Pauline Laffitte, deux jeunes entrepreneuses engagées, ont lancé Béa (certifiée Entreprise de l'Economie Sociale et Solidaire) en 2016. Leur pari ? Embarquer les entreprises dans une mission sociétale et solidaire. L'agence accompagne des marques comme leboncoin, Under Armour, Treatwell, Lagardère Travel Retail dans l'organisation de teambuildings et RTT solidaires en "créant des chantiers sur-mesures qui répondent à des besoins réels d'associations tout en accompagnant les entreprises dans leurs stratégies de communication interne et externe". Pour leboncoin par exemple, l'agence accompagne la marque dans leur politique RH et de communication interne à travers une dizaine de chantiers. Depuis janvier, elles assistent Ubisoft EMEA avec l'action "Play For Good" . Soit quatre chantiers solidaires répartis au profit des jeunes de la Fondation Apprentis d'Auteuil. L'entrée au capital de Luc Wise, ne change pas l'organisation de l'agence. Claire Casset et Pauline Laffitte demeurant les gérantes et continuant à manager leur agence au quotidien. "J'ai toujours combattu l'idée reçue selon laquelle la communication était quelque chose de futile. La communication peut être un levier puissant pour une société positive et durable, dès lors qu'on lui réserve des causes utiles. L'action de l'Agence Béa a une triple utilité : pour les associations, pour les employés et pour les employeurs. Pauline et Claire contribuent ainsi à faire bouger les lignes, en créant un modèle de communication engagé" explique Luc Wise. "Nous comptons aujourd'hui sur l'appui précieux de Luc pour continuer à développer Béa. Luc nous apporte également son expérience en tant qu'entrepreneur. L'année 2019 s'annonce déjà très riche et positive avec l'accompagnement de nouvelles marques dans leur volonté d'engagement sociétal et/ou environnemental, ainsi que de beaux projets pour les associations qui peinent à trouver des bénévoles motivés" concluent Claire Casset et Pauline Laffitte.

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