Betc retourne aux racines graphiques de Citroën
Citroën s’est toujours posée comme une marque audacieuse, tant avec ses modèles comme la DS ou la Traction, ou ses campagnes de publicité hors-norme, à l’image de l’éclairage de la Tour Eiffel dans les années 20 ou des excès des années 80. Accompagnée de sa nouvelle équipe marketing et de son agence BETC, la marque renoue avec une communication en rupture en dévoilant un nouveau territoire visuel mondial. Un positionnement qui veut rompre avec la monotonie du secteur quand il s’agit de mettre en scène les modèles. Pour changer de la sempiternelle voiture colorée évoluant sur fond de quartier ultramoderne (ou desert brûlant pour les SUV), BETC a décidé de renouer avec le plaisir esthétique en digital, en presse, en affichage, en concession.
Exit donc le réel, le nouveau territoire visuel de la marque aux chevrons s’exprime graphiquement avec des couleurs et des formes qui expriment clairement le positionnement ou le bénéfice du véhicule, seul élément réel de la composition. Un retour à l’affichage graphique, clin d’œil aux Widmer, Itten, Grignani et autres graphistes Suisses qui exerçaient leur art sous l’égide de Robert Delpire dans les années 60. Pour créer ce territoire, BETC a mis à contribution ses meilleurs talents de graphistes internes, sous la houlette de Stéphane Xiberras, Nicolas Lautier et David Derouet. Il est appliqué dans le monde entier, grâce aux réseaux BETC et Havas. Ce nouveau territoire visuel sera décliné en digital (digital display, social media, etc.), en affichage, en presse, et jusque dans le réseau de concession de la marque et ceci dans le monde entier, de l’Argentine au Japon.
