Mytho

Pour Arte, DDB Paris signe la plus impressionnante campagne de communication jamvais vue dans l'histoire des lancements des séries TV.

Pour le lancement de « Mytho », la nouvelle série originale d'ARTE dont le générique final, long de 23 minutes, regroupe plus de stars que la Voie Lactée ne compte d’étoiles, DDB Paris a conçu une campagne à la hauteur des ambitions de la chaine franco-allemande.
Une campagne qui se fait l'écho de l'accueil absolument incroyable réservé partout dans le monde à cette série où le mensonge est roi : véritables scènes d'hystérie collective lors de l'avant-première à Los Angeles ; quasiment 24 heures de standing ovation à Tokyo, où certains ont dû se faire panser les mains tant ils avaient applaudi ; et déjà près d'1 milliard de fans dans le monde (la série ayant fait l'objet de traductions dans 800 langues, y compris locales, comme l'inuit, l'ouzbek et le jivaro).

Sans parler des articles dithyrambiques signés par les critiques de cinéma les plus prestigieux, comme Harold Pickmayer du New York Times, qui a carrément revu sa grille d'appréciation pour attribuer à la série une note 2 fois plus élevée que le maximum habituel, ou encore Sarah Ferguson de Time Magazine, qui a écrit : "Là, au moins, on n'attend pas 6 saisons que l'hiver arrive". Selon la presse internationale, "Mytho" s'annonce déjà comme un "Game Of Thrones puissance 10" en termes de succèss.

Devant un tel triomphe (pour l'anecdote, la série a même retardé l'une des réunions du dernier G7, car un chef d'état était à l'hôtel en mode "binge watching"), il était impossible à DDB Paris, pour le lancement hexagonal de la série, de ne pas envisager un dispositif hors normes.

C'est pourquoi la campagne se déploie en DOOH, radio, cinéma, tv, social media, bus et dirigeables publicitaires, et même sérigraphie sur cumulonimbus (un procédé d'impression sur nuages, pour des messages visibles uniquement depuis l'avion, testé à cette occasion sur la ligne Paris-Nice), tandis qu'une technologie révolutionnaire, qui mêle data et IA, va permettre de proposer à chaque internaute une bande-annonce qui puise à la volée dans les extraits de la série pour coller non seulement à son profil, mais aussi à son humeur du moment, tout en adoptant comme voix-off le timbre exact de la maman de l'internaute.

Bref, dans cette campagne "Mytho" qui se présente d'emblée comme "la nouvelle révolution bernbachienne", DDB Paris reprend à son compte, jusque dans les lignes de ce communiqué, cette question essentielle posée par la série : "Jusqu'où peut-on mentir pour être aimé ?".