La communication brouillée des JO de Pékin

Amnesty international - JO Pékin

Le 4 février, l’allumage de la vasque olympique marquera le lancement des Jeux olympiques d’hiver de Beijing. La Chine "veut profiter de l’événement pour souligner son statut de superpuissance et détourner l'attention de la situation catastrophique des droits humains dans le pays" précise Amnesty International France qui saisit cette opportunité pour dénoncer la persécution de ces minorités à travers une campagne sur les réseaux sociaux, notamment sur Facebook,  et en affichage digital (500 écrans) dans les bars et restaurants) dans 19 villes de France. Le concept imaginé pour la campagne est celui des "épreuves cachées. Des épreuves inhumaines infligées aux Ouïghours et aux autres minorités musulmanes dans la région du Xinjiang : torture, internement dans des camps, endoctrinement.". Le 26 janvier, en complément de cette campagne vidéo, des événements de mobilisation ont été organisés partout en France et à Paris devant l’Assemblée nationale afin d’attirer l’attention des médias et des décideurs politiques sur ce que demande l’association : la mise en place d’une enquête internationale et indépendante sur les violations de droits humains perpétrées au Xinjiang.

 

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