Portage salarial : un vrai bonus pour les indépendants

CEGELEM

Le portage salarial avec Cegelem

Les indépendants ont été parmi les premiers à subir les effets de la crise, à divers degrés selon leur statut. Ceux qui ont opté pour le portage salarial ont toutefois pu bénéficier des dispositifs mis en place par les professionnels… et se féliciter de leur choix.

Le Coronavirus a plongé le monde dans une crise sanitaire et économique sans précédent. Mais comme toujours, elle a d’abord touché les indépendants, variable d’ajustement la plus simple à moduler pour permettre aux entreprises de limiter les premiers effets de la crise et notamment les licenciements. Le secteur des médias et de la communication ayant très largement recours aux indépendants, les premières mesures anti crise ont été très rapidement perceptibles, avec une intensité variable selon le statut choisi par l’indépendant.

Le(bon) choix du portage

Contrairement à d’autres, ceux qui ont opté le portage salarial ont pu bénéficier de nombreuses mesures d’accompagnement : « Passé l’attentisme de mise en période de pré-confinement, l’interruption des missions en cours et les restrictions budgétaires se sont rapidement traduites par une réduction du temps de travail voire un arrêt total, confirme Prince Moukoumbouka, président de Cegelem. Pour les entreprises de portage salarial, il a fallu s’adapter, notamment gérer le télétravail de nos consultants (indépendants en portage salarial, ndlr) en mission chez leurs clients mais pour lesquels rien n’était prévu, notamment en matière de prise en charge de frais d’aménagement d’un espace de travail. »

Une mobilisation générale

Car la crise, en mettant à l’épreuve les dispositifs existants, a logiquement mis en relief leurs faiblesses. La profession a par exemple dû intervenir auprès du gouvernement pour faire valoir le droit de leurs consultants aux mesures de chômage partiel proposée pour toutes les autres catégories de salariés. La profession disposait bien d’une convention collective depuis 2017, mais elle n’abordait pas ce sujet : « La crise a révélé que nous avions un trou dans la raquette, ce qui n’est plus le cas aujourd’hui, précise Prince Moukoumbouka. Parallèlement aux actions menées par la profession, notamment par le biais de syndicats comme la FEPS (fédération des entreprises de portage salarial), nous avons souhaité chez Cegelem compléter le dispositif d’accompagnement de nos consultants. Nous mettons par exemple à leur disposition des job boards pour leur permettre de mieux piloter leurs contrats, ce qui leur permet d’optimiser leur temps et de se consacrer à 100% sur leurs missions et d’envisager l’avenir avec un peu plus de sérénité. »

Des signaux encourageants

Après un premier semestre difficile les professionnels du portage se veulent confiants. « Septembre marque un changement de tendance : la majorité de nos consultants repartent en mission, observe Prince Moukoumbouka. Nos dispositifs d’accompagnement ont été enrichis de nouvelles mesures d’accompagnement. Nous avons mené un vrai travail de sensibilisation auprès des entreprises qui sont désormais plus enclines à conserver nos consultants en mission. » La crise étant par essence passagère, elles ont compris qu’il était plus pertinent pour elles de maintenir en activité, même réduite, un consultant qu’elles connaissent bien (et réciproquement) plutôt qu’interrompre une mission et devoir passer du temps à chercher un nouveau consultant possédant le même niveau de connaissance de sa problématique.

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