Challenges et Renault : un accord qui n’a pas fait long feu

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En décembre 2017, Claude Perdriel avait surpris tout son monde en accueillant Renault à hauteur de 40% au sein du capital de son titre Challenges. L’idée était alors d’embarquer les contenus de Challenges dans tous les véhicules du constructeur français. Deux ans plus tard, machine arrière. Dans une interview accordée aux Échos, Claude Perdriel qui détient également des titres tels que Sciences et Avenir, La Recherche, L'Histoire, Historia, etc., se dit prêt à racheter les 35% (la part de Renault est passé de 40 à 35% à la faveur d’une recapitalisation de Challenges à l’été 2019, ndlr) de Renault au sein de Challenges.

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