''Soft power'', par Olivier Chapuis, président de CBMédia

Plus de 400 participants, des tables rondes et keynotes de grande qualité, incontestablement, ce premier Paris Luxury Summit a été un succès. Une réussite qu’il faut attribuer aux équipes de CB News, à Charlotte Millet, directrice de la communication de ZenithOptimedia, mais aussi à Sébastien Danet, le président de cette agence sans qui ce sommet n’aurait pas eu lieu. Nos partenaires — Figaro Medias, Google, JCDecaux, TF1, Teads, CNN, mais aussi Lonsdale — pour l’identité graphique de cette manifestation, et enfin HEC et Valeurs d’excellence, nous ont non seulement accompagnés, mais surtout encouragés dans cette entreprise qui nous paraissait essentielle.

Pourquoi ?

D’abord parce que nous faisons partie de ceux qui, dans cette période de « french bashing », préfèrent saluer les performances de nos entreprises et célébrer leurs marques plutôt que de les dénigrer. Or le luxe, la deuxième industrie nationale est, avec la culture, l’un des leviers d’influence les plus efficaces de notre pays et le fer de lance du « soft power français » à l’international.

Ensuite parce que rarement ce secteur n’aura été confronté à autant de défis, qu’il s’agisse de l’intégration des nouvelles technologies, ou de la redistribution des cartes dans les pays émergents.

Enfin et surtout parce que rarement le marché du luxe et l’art n’ont été autant interconnectés depuis le lancement de la Fondation Cartier il y a tout juste trente ans. La preuve en est donnée par la Fondation Louis Vuitton mais aussi par l’exposition "culture Chanel " à Séoul, ou celle sur les métiers d’art de Salzbourg, le tout nouveau flagship d’Hermès à Shanghai, sans oublier bien sûr les initiatives de l’actionnaire de Kering dans l’art contemporain. 

Or l’art et le luxe, c’est précisément le thème de la 28e édition du Collector Luxe de "CB News". Et à notre façon, nous jouons aussi notre partition : pour la déclinaison print de notre marque nous avons en effet clairement fait le choix d’une offre premium ainsi qu’en atteste cette magnifique couverture de Bruno Aveillan et nous sommes convaincus que la presse magazine a de beaux jours devant elle si elle sait fabriquer "de beaux objets".

A l'année prochaine. 

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