Les 4 règles de l'UX-Writing

Par Jane Baxter, directrice des contenus de l’agence Castor & Pollux.

Peu le connaissent et rares sont ceux qui y prêtent aujourd’hui attention, pourtant l’UX Writing connait un succès grandissant. Il faut dire que cette discipline se donne une mission ambitieuse : transformer notre rapport aux interfaces en créant une expérience utilisateur inoubliable… 

Parmi ses terrains de jeux privilégiés ? Les notifications, messages de confirmation ou d’erreur, call-to-action et menus déroulants. Des espaces d’expression souvent oubliés où une tournure savamment amenée sait créer la différence ! On vous dévoile quelques-uns de ses commandements clés.

Efficacité et émotion tu chercheras 

La bonne recette pour maintenir éveillée l’attention volatile d’un internaute ? Un contenu direct, qui suscite l’émotion et pousse à l’action. L’UX Writer fait de la concision son cheval de bataille, sans jamais basculer dans un discours austère. Exit les CTA impersonnels, place à l’émotion.

Les attentes de ta cible tu énonceras

Dans l’UX Writing, les messages ne sont pas pensés pour décrire ou présenter un produit, un service, une entreprise. Ils sont adaptés aux attentes des utilisateurs et énoncent leurs objectifs.


Le jargon tu banniras

Vocabulaire technique, paroles d’experts, jargon métier… En simplifiant les contenus les plus techniques, l’UX Writer délivre une information claire et fluide, facilitant ainsi le passage à l’action.


Un contenu structuré tu bâtiras

L’UX Writer ne mène pas seul sa barque. Il cherche à trouver le parfait équilibre entre UX, graphisme et rédaction. Objectif : permettre d’avoir accès à toutes les informations essentielles en balayant le contenu d’un regard, rendre la lecture agréable en créant une composition aérée, contrastée et dynamique mêlant contenus visuels et textuels. En somme : moins de mots pour le plus de sens.

À lire aussi

Filtrer par