Hack Friday

Label Emmaüs est la boutique en ligne solidaire d'Emmaüs initiée par l’abbé Pierre et a pour objectif de proposer une alternative aux boutiques en ligne traditionnelles en faisant la promesse d’un achat solidaire.

En effet, c’est la première entreprise d’insertion dédiée au e-commerce qui, en plus de lutter contre le gaspillage, permet de former les compagnons, salariés en parcours d’insertion et personnes accueillies, aux métiers du numérique et de la logistique.

Mais Label Emmaüs doit faire face à une concurrence accrue car il existe de multiples plateformes de reventes :  Ebay,  Le Bon Coin, Vinted, Selency, etc.

Les événements comme les soldes ou le Black Friday encouragent la tendance à la surconsommation et battent chaque année de nouveaux records de transactions.

L’objectif de la campagne était donc de se faire connaître du grand public et dénoncer ce phénomène.

Pour dénoncer la surconsommation et se faire connaître en tant qu’alternative en matière d’achats responsables et solidaires, Label Emmaüs et son agence ont mené une action coup de poing dans les rues de Paris à l’approche du Black Friday. 

La surconsommation concerne chacun d’entre nous, alors pour toucher le plus grand nombre, nous avons opté pour une stratégie RP dans un premier temps, en amplifiant vers le grand public par la suite.

Recommandations proposées par l’agence / moyens mis en œuvre (1500 caractères max) :

Quelques jours avant le Black Friday, nous avons hacké plus d’une centaine de vitrines de magasins de vêtements et de meubles en plaçant devant ces dernières un portant mobile transformé en fenêtre web de la boutique en ligne solidaire. Un curseur pointait les articles neufs des vitrines et un message indiquait que ceux-ci existaient aussi en « version recyclée et solidaire » sur le site Label Emmaüs. 

Composée d’un film digital, de photos et d’un kit influenceurs, la campagne Hack Friday a été relayée sur les réseaux sociaux de Label Emmaüs, via le hashtag #LabelEmmaus et grâce aux journalistes présents les jours de hacking. En effet, pour booster la visibilité de cette activation « coup de poing » nous avons dans un premier temps ciblé les journalistes de différents médias. Contactés en amont du projet, ils avaient la possibilité de venir assister à l’opération ou d’en parler dans un article. Dans un second temps, nous avons misé sur la caisse de résonnance de ces journalistes et des médias pour atteindre le grand public.

Nous avons obtenu plus de 300 retombées TV, Presse, Radio et sur le web (Agence France Presse, L’Opinion, Le Point, Vanity Fair, TV5, BFM Business, France TV Info, 20 Minutes, Sud Radio, Ouest France, etc.) ainsi que l’appui de 40 influenceurs qui ont généré 286 millions d’impressions. En seulement 48h, la vidéo du stunt a été vue plus de 100 000 fois. 

Nous ne disposions d’aucun budget média. La campagne ne nous a coûté que l'achat et la customisation de deux portants de vêtements recyclés.