Piétiner les violences sexistes samedi 22 octobre

L’association Sine Qua Non, qui lutte contre les violences sexistes et sexuelles et pour la réappropriation de l’espace public par les femmes à travers le sport, bénéfice depuis sa création du soutien des agences Sport Market et ici Barbès. Expertise organisationnelle, créative, institutionnelle et digitale, les deux agences travaillent ensemble  pour accompagner l’association dans l’organisation et la promotion de son programme "Run, Play, Fight, Ride and Dance for Equality" qui représente plus d’un événement par jour. Le vaisseau amiral de ce plan d’actions est la "Sine Qua Non Run", une course solidaire de 6 ou 10 kilomètres, dont le départ sera donné cette année Place de la Bataille de Stalingrad samedi 22 octobre à partir de 18h. Il s'agit de la cinquième édition. L’occasion pour les deux agences de dévoiler une campagne de communication à la hauteur de ce que les femmes qui font du sport doivent entendre et subir. Au-delà du défi sportif, la Sine Qua Non Run invite les femmes et les hommes à se mobiliser pour "piétiner les violences sexistes et sexuelles auxquelles les femmes sont trop souvent confrontées dans leur pratique du running mais aussi dans leur vie au quotidien" précisent les deux agences. Une version connectée de la course est également proposée pour permettre à tous de se mobiliser. "Les soutiens de Sport Market et d’ici Barbès sont essentiels pour le développement pérenne de l’association Sine Qua Non, dont le fonctionnement repose quasi exclusivement sur du bénévolat et des aides publiques remises en question chaque année. La relation que nous avons tissée va au-delà d’une prestation de service « pro bono ». Nous partageons une envie commune d’agir concrètement par le sport, pour promouvoir la nécessité et la possibilité d’évoluer vers un nouveau rapport, plus équilibré, entre les femmes et les hommes. Pour nous association, cet accompagnement est à la fois une marque de confiance et une source d’énergie sans commune mesure. Un immense merci" précise Mathilde Castres, présidente de l’association Sine Qua Non.