Libération : l'Etat français ne va pas se substituer aux actionnaires défaillants

S'il y avait quelque espoir pour les collaborateurs de Libération de voir le gouvernement intervenir dans sa situation économique et financière, il a été douché. En effet, selon la ministre de la Culture et de la Communication Aurélie Filippetti, l'Etat français ne va pas "se substituer aux actionnaires défaillants" du quotidien, a-t-elle indiqué sur iTélé. "Il y a des actionnaires, ce sont eux qui sont responsables aujourd'hui de la situation dans laquelle est le journal", a affirmé la ministre. Le ministère de la Culture et de la Communication "accompagne" les journaux en difficulté, notamment au travers du fonds de soutien au pluralisme, a-t-elle rappelé.

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